vendredi 19 novembre 2010

Autre décor

Voici un autre décor à utiliser, plus loin, dans mon récit.
Pour voir, cliquer ici.

lundi 15 novembre 2010

Naissances

Le 5 Mai 1943, dans la délicieuse petite ville de ******, Madame Bergeret, accoucha prématurément de deux enfants que l’on prénomma Lucien et Zoé.


Ainsi débute Nos jeunes années, premier livre de la saga Les Bergeret qui devrait faire l’objet de ce blog.

Dans un autre lieu, j’ai relaté l’histoire des blogs de ces mêmes Bergeret; cela commençait ainsi :

Il y avait , au départ, trois personnages que nous serons parfois amenés, pour la clarté du discours, à désigner par X, Y ou Z.
Pour les définir un peu mieux, précisons que X et Y naquirent le 5 Mai 1943 dans la délicieuse petite ville de ******. Z ne souhaitant pas faire connaitre son âge, nous ne donnerons pas la date de sa naissance dans cette même ville.
Rien d’étonnant donc à ce que X, Y et Z soient inséparables depuis ce que nous pourrons appeler la nuit des temps.



Lecteur consciencieux, toi qui as suivi cette saga, tu sais avec certitude que :

X= Charlotte
Y= Lucien
Z= Zoé



Et te voilà perplexe.


Non ! Mes deux propositions ne sont pas contradictoires.
Réfléchis un peu, lecteur sagace !
« Mais c’est évident ! », me dis-tu ?

Ah oui ! Peut-être !

Poursuivons l’histoire de mes premières années qui furent aussi, vous l’avez compris, celles de mon frère Lucien.

Hélas ! Notre naissance tua notre mère.

« Pourquoi faire mourir cette pauvre femme ? »

Cela me simplifiera la suite. Je me sens incapable de faire vivre deux personnages de mère. Un seul, inspiré de la mienne, suffira à mon récit. Ce sera la mère de Charlotte.
Poursuivons.

Le même jour, dans la même ville, naquit Charlotte.

« Pourquoi ne pas faire mourir la mère de Charlotte ? »

Peut-être l’envie d’écrire « Hélas ! Notre naissance tua notre mère. »

A peine achevais-je de tuer ma mère en naissant ou, plus exactement, à peine la personne écrivant sous le pseudo Zoé Bergeret—l’Auteur de ce Roman pourrions-nous dire si nous pensions que le Récit qui débute péniblement ici puisse jamais prétendre au titre de Roman--, à peine, disais-je, cette personne—ou cet Auteur si vous préférez, pour ma part cela m’est totalement indifférent, à la condition toutefois que, sous prétexte qu’elle signe Zoé, vous ne vous avisiez pas de parler d’Auteure—achevait-elle, usant de son droit imprescriptible de Créateur, de tuer la mère des personnages qu’elle nommait Lucien et Zoé Bergeret ou, plus précisément, achevait-elle d’écrire la narration ,par la bouche du personnage Zoé devenu adulte—et donc le Narrateur de notre Roman(appelons-le ainsi faute de mieux)—, de la naissance des Jumeaux Bergeret et de la mort de leur mère, que mille questions l’assaillirent.

lundi 8 novembre 2010

Juste en passant

Juste en passant, je vous propose une photo (cliquer pour voir) qui pourrait servir de décor à un épisode à venir de nos tribulations.

vendredi 5 novembre 2010

Je ne vous oublie pas

Voici un article lu aujpurd'hui chez Paul Edel.
Voir l'article.