Mardi 19 Avril 2011
« Des fois, on cherche midi à quatorze heure ce qu’on a sous la main » disait, ce matin, à sa collègue une serveuse du bar où j’attends parfois l’heure de mes rendez-vous.
Plus tard, l’arrivée d’un groupe m’a fait une nouvelle fois me poser cette ancienne question à laquelle je n’ai toujours pas trouvé la réponse : « Pourquoi suis-je si mal à l’aise quand je vois de parfaits inconnus se ridiculiser devant moi ? »
Clopine disait hier qu’elle a effacé deux chapitres de son roman. Aujourd’hui, elle donne l’adresse du site où elle a réécrit le premier. A suivre ?
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